Spécial Témoignage du Mois - Kadidiatou Ibrahima MAIGA
ISPRIC : Présentez-nous votre parcours
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
J’ai fait le Lycée Castor. Mon père voulait que je fasse le droit. Parce que je suis très à l’aise à l’oral et surtout dans l’argumentation. Il m’a apporté les fiches de plusieurs universités. Mais, je voulais venir à ISPRIC. J’ai commencé avec le tronc commun en Licence 1.
Quand je suis venue à ISPRIC, je me suis découverte après être confrontée à plusieurs situations. J’ai su trouver ma voie. Je me suis forgée une autre personnalité. J’ai décidé d’aller vers la communication, c’est le chemin que ISPRIC m’a permis de suivre.
J’ai un Master en Marketing et Ingénierie d’Affaires et une Licence en Communication. Je suis actuellement entrepreneur. Dans mon entreprise, je fais du service traiteur, de l’événementiel, de la décoration et de la restauration. Après ISPRIC, j’ai été employée dans plusieurs entreprises. Même pendant mes études à ISPRIC, j’ai commencé à travailler dès la première année. Tout cela c’est grâce à ISPRIC.
ISPRIC : Expliquez-nous les situations qui vous ont permis de vous redécouvrir à ISPRIC.
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
Le travail en groupe. Le voyage. Pendant les voyages, j’ai appris la capacité de diriger. Grâce à certains professeurs comme monsieur DAFFE, j’ai vu que j’étais faite pour cela. J’ai développé la capacité de rassembler et de diriger.
C’est à ISPRIC que j’ai compris que j’avais une facilité à interagir avec les gens. Et c’est pourquoi j’ai choisi la communication en Licence qui correspond parfaitement avec ces dons que j’avais. On faisait également beaucoup de pratique. Les exposés, les recherches hors des classes, les investigations et les interviews sur le terrain m’ont amenée à être à l’aise dans la communication. Aujourd’hui, je peux aller expliquer et défendre mon projet partout. A ISPRIC, nous avons eu comme trésors le courage et la technique.
ISPRIC : Pourquoi avoir choisi ISPRIC ?
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
Je voyais sur les réseaux sociaux des publications sur les débats. Sur toutes les activités qui se faisaient à ISPRIC. Cela me plaisait énormément. Un jour, je suis venue faire une visite. Et depuis le premier jour, les étudiants que j’ai rencontrés ont créé un contact avec moi. J’ai intégré leur sketch sur la rentrée. Alors que je n’étais pas encore inscrite. Je me suis dit : « Là, c’est chez moi. »
ISPRIC : Comment avez-vous trouvé la formation à ISPRIC ?
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
C’était très bien. Les professeurs nous faisaient vraiment participer aux cours. Ils se rassurent toujours que les étudiants ont compris les cours avant les évaluations. Ils interrogent les élèves. Et dans leurs réponses orales, s’ils se rendent comptent qu’il y a des ambiguïtés. Alors, ils reviennent sur les parties du cours qui nécessitent plus d’explications.
ISPRIC : Qu’est-ce que ISPRIC vous a apporté ?
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
Tout. Ça m’apporte tout. J’ai gagné une énorme confiance en moi à ISPRIC. Cette force de persuasion que j’ai en moi, c’est à ISPRIC que je l’ai vue. Je l’avais sans la connaître, sans la voir. Quand je suis venue ici, je suis devenue une tout autre personne. J’ai fait de nouvelles rencontres.
ISPRIC : Quelles sont les choses que vous avez aimées à ISPRIC ?
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
ISPRIC, c’est comme une famille. Ce n’est pas qu’un slogan. C’est une réalité. Et, ces liens de familiarité on les découvre surtout pendant les voyages. Les étudiants s’unissent encore plus. Jusqu’à présent mes camarades de promotion et moi sommes en contact. A ISPRIC, on est là les uns pour les autres. Je me suis sentie aimée à ISPRIC. J’ai aimé les concours de débat. J’ai même été élue reine du débat en Licence 1.
ISPRIC : Un mot pour ceux qui souhaitent faire des études supérieures.
Kadiatou Ibrahima MAIGA :
Pour pouvoir avancer, il faut savoir où l’on va. Il faut apprendre à se connaître et se dessiner un chemin à suivre. Et ISPRIC nous permet de nous connaître à travers les cours de développement personnel. Une seule année à ISPRIC suffit pour savoir quel chemin emprunter.
